mercredi 28 mai 2008

A Toulouse ce mercredi

Comme prévu cet après-midi, "enterrement de l'Education Nationale" avec triple cérémonie (à Esquirol, au Capitole et à Jaurès) en discours et musique (la qualité des textes a été particulièrement remarquée).

70 à 80 participants dont une dizaine d'élèves du lycée pour une action qui interpellait les passants.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

C'était simpathique comme action, bien organisée. Je remercie les élèves de St Sernin et Fermat de l'avoir organisée: une bonne idée, et des bons musiciens.

Anonyme a dit…

Madame, Monsieur,

j’ai l’honneur de vous demander un service. Vous n’ignorez sûrement pas qu’un “blog” des lycéens du lycée d’enseignement public Saint Sernin a été crée il y a quelques semaines, pour tenir informés des nouveautés les élèves, parents et enseignants ; ce blog est basé sur le principe de solidarité et de soutien mutuel des lycéens (de Saint Sernin, et d’ailleurs).

Cependant, il y a une semaine, nous avons organisé une action “enterrement de l’Éducation Nationale”, pour laquelle, débordés par les problèmes d’organisation, nous n’avons pu prendre de photos.

Ainsi, pensant bien faire, et espérant que nos compatriotes fonctionnaient sur le même modèle solidaire que nous, nous avons inséré dans notre blog une photographie trouvée sur votre blog (Victor Hugo) !

Quelle surprise n’avons-nous donc pas eu lorsqu’il nous a été reproché d’avoir usurpé ladite photo, sans en avoir l’accord… C’est en effet un procédé que nous ne maîtrisons pas : chez nous, quiconque souhaite prendre une photo peut le faire sans barrage aucun.

Ainsi, messieurs dames, chers lycéens de Victor Hugo, nous vous demandons solennellement l’autorisation de pouvoir utiliser sur notre blog la photographie.

Nous vous prions d’agréer, madame, monsieur, l’expression de nos sentiments les plus distingués.

Les lycéens de Saint Sernin.

Le CL du LVH : a dit…

Oh là là ! n'en faites pas tant ! Ben ouais, demander c'est bien. La réponse de Véronique avait été : je vous en donne une autre, qu'au moins on ait pas la même. Allez, on passe, tout ça n'est pas grave : on est dans la même bagarre qui a des enjeux autrement plus importants !